Dans la société, le BÉLIER est un pionnier, un conquérant ; il peut se sentir mal à l’aise dans une société qui lui dicte sa loi et peut vite mettre son casque d’individualiste !
Il a besoin d’être un leader car dans ce cadre social, il lui faut malheureusement obéir aux ordres ou être le premier, n’ayant personne devant lui pour lui freiner son rythme !
Le leader laisse la place au producteur TAUREAU.
Le but de ce signe est de rendre stable et fécond toutes ces idées et images qui traversent la tête.
Le besoin d’enraciner est primordial, non seulement pour maintenir cette stabilité, mais pour préserver l’espèce et la fertilité du sol.
Apprendre à lire et à écrire, à échanger avec le Monde, à découvrir sans cesse, pousse le GÉMEAUX à devenir un coordinateur et un créateur de contact dans la société.
Le besoin vital d’échanges est remplacé par un besoin insatiable de savoir, de connaissances où la curiosité permanente se mêle à un côté touche-à-tout facilement émerveillé.
Le besoin de protection du CANCER est immense, le repli naturel peut devenir une défense acharnée des valeurs familiales qui refusent toute intrusion.
Il représente l’archétype maternel (la louve de Romulus et Remus fondateurs d’une cité) : il veut nourrir au propre et au figuré et permettre au aux autres de se servir de sa propre substance, c'est-à-dire redonner tout ce qui lui a permis de grandir.
Rester Roi dans son royaume , assumer sa descendance et la conservation de la couronne sont des occupations importantes pour le LION social.
Son besoin d’affirmation personnelle au sein de la société l’incite à mettre en avant sa créativité et ses idées.
Mère du raisonnement , de la prudence et de la raison, la VIERGE est un régulateur pour la société. Grâce à elle, la critique devient un art, voire critique d’art.
Raisonnée et logique, puissante d’analyse, elle permet de clarifier, d’améliorer, de clarifier les systèmes en place.
Les secrétaires sont priées de taire les secrets qui se terrent dans les conseils d’administration de sociétés très anonymes. Vous l’aurez compris… La Vierge est très discrète.
La BALANCE est un conciliateur, un harmonisateur, un donneur d’équilibre , un diplomate, un artiste du relationnel.
C’est le temps du pacte, du contrat, du mariage, de la cohabitation ; tout ce qui nous permet de nous situer par rapport à l’autre.
Avec le SCORPION, naissent de nouveaux rassemblements pour perpétuer le frisson commun d’émotions partagées… La libido sociale coule dans les veines des conquêtes boursières.
La sexualité, la mort et le pouvoir sont toujours au hit parade des rituels sociaux … le Scorpion est concerné par les trois… on comprend pourquoi il fascine le Monde.
Le train de l’évolution des peuples est en marche et le SAGITTAIRE conduit la locomotive.
Entraîneur né, rassembleur d’hommes, il les mène sur tous les chemins de l’aventure sociale au rythme du galop de son enthousiasme.
Il a une âme de missionnaire, de conseiller, de guide, de philosophe.
Avec le CAPRICORNE, nous sommes dans la structuration de la structure de l’ordre social avec un grand sens des responsabilités et du devoir, un respect des lois, du sens interdit et de l’interdit des sens. Forteresses, citadelles, murailles le représentent bien tant il ne s’ouvre pas facilement. Il est constructeur, architecte, bâtisseur et n’a de compte à rendre à personne sauf peut-être à Dieu… mais cela tombe bien, il est athée !
Le VERSEAU incarne le réformateur jusqu’au bout de ses artères.
Il veut réécrire la société et donner une Âme à sa culture.
Il veut casser les formes établies des pouvoirs en place et se consacrer au progrès de l’humanité, au nouveau pas à franchir, à la révolution qu’elle soit silencieuse, technologique, sociale ou spirituelle.
Il ne peut accepter l’enfermement de l’homme par l’homme.
Le POISSONS se laisse facilement porter par le courant où se fond, voire se noie dans la masse ; où bien, il plonge dans les eaux tumultueuses des drames humains et cherchent à colmater les brèches en devenant psychiatre , psychologue ou à travers diverses médecines.
En bon sauveur, il aime s’occuper de ses frères de misère en même temps qu’il se sent accoucheur d’un nouveau monde.
Jean-François Berry « Le Chant de la Résonance »