Cette canalisation transmise par Alexandra et Dan fait partie d’une lecture du but de l’Âme avec Saint-Germain. Elle est reproduite ici avec la permission de leur client.« Cher Saint-Germain. J’ai la chance de pratiquer des soins de santé qui comprennent la réflexologie et d’autres techniques d’équilibrage de l’énergie. Je suis le plus heureux lorsque j’aide les autres à se sentir mieux. Mais je suis particulièrement vulnérable chaque fois que mes clients ne signalent aucune amélioration.
À ce moment-là, je m’interroge sur mes compétences professionnelles, et je me sens socialement mal à l’aise. Est-ce que j’en fais vraiment assez en tant que guérisseur ou devrais-je essayer d’intégrer de nouvelles méthodes dans ma pratique ? »
Mon cher ami, JE SUIS Saint-Germain. Un des éléments de votre but d’Âme dans cette vie est de surmonter le doute de soi et l’insécurité. Vous y êtes encouragé afin de pouvoir développer la confiance nécessaire pour atteindre vos objectifs professionnels.
Construire une pratique de soins de santé et une clientèle est un processus qui exige de la patience, des connaissances et des compétences. Mais cela implique aussi des changements intérieurs importants dans la manière dont vous vous percevez. Vous contenter d’ajouter de nouvelles techniques ne permettra pas de traiter cette question.
Équilibrer l’intellect et l’intuition
Le défi auquel vous êtes confronté actuellement, c’est que votre tête et votre cœur — votre intellect et votre intuition — ne communiquent pas toujours de façon à soutenir mutuellement vos meilleurs intérêts. Voici ce que je veux dire :
Il est clair que vous êtes enthousiaste au sujet de l’art de guérir, et que votre désir de réussir attire facilement l’attention de votre cœur. Lorsque cela se produit, les facultés magnétiques et intuitives de votre cœur se mettent à travailler, créant des possibilités et des opportunités de vous impliquer. Cela vous excite, bien sûr, parce que vous voulez faire ce que vous aimez. Mais des difficultés peuvent aussi en découler.
Vous voyez, si vous essayez simultanément tout ce qui plaît à votre cœur, alors vous pourriez être incapable de mener une seule chose à terme.
C’est précisément à ce moment que votre cœur intuitif pourrait utiliser le soutien de votre tête intellectuelle pour évaluer les détails pratiques de vos objectifs. Mais au lieu de cela, que se passe-t-il ?
Au lieu de vous aider, votre intellect — sous l’influence de l’ego — remplit votre esprit de soucis au sujet de ce que vous « devriez » faire pour être un meilleur praticien ; ce que vous feriez, si seulement vous étiez un meilleur praticien.
Il vous dit que si vous étiez vraiment compétent, alors vous feriez ceci, cela, ou autre chose encore. Mais il ne vous assure jamais de la force de vos capacités. Il ne fait que remplir votre esprit de doute.
Par conséquent, le mental — avec le soutien de l’ego — commence à générer tant de soucis que ça commence à affecter votre confiance. Au lieu de vous aider à manifester vos buts et vos rêves de manière pratique, il vous remplit la tête de doute en suggérant que vous n’êtes pas assez bon pour être un guérisseur crédible.
Lorsque ce malentendu entre la tête et le cœur échappe à tout contrôle, il vous entraîne dans la confusion. Vous vous surprenez à penser une chose et à en ressentir une autre — si bien qu’à la fin, vous n’êtes jamais vraiment sûr de ce que vous voulez, ou de ce que vous devez faire à ce sujet.
Pouvez-vous voir comment cette division entre votre tête et votre cœur vous blesse en tant que guérisseur ? D’une part, elle vous conduit à prendre des décisions impulsives au sujet de votre profession et, d’autre part, elle crée un regret obsessionnel quant à vos défauts imaginaires.
Gérer la critique et les plaintes
Votre empathie en tant que guérisseur peut rendre difficile pour vous de gérer le client critique occasionnel, ou celui qui se plaint du traitement qu’il a reçu de vous.
Naturellement, si vous vous sentez inférieur sur vos compétences ou connaissances, cela peut vous obliger à apprendre davantage de techniques ou à maîtriser des détails supplémentaires. Il n’y a certainement rien de mal à maintenir un niveau d’excellence qui vous semble correct, et la formation continue peut en faire partie. Si c’est le cas, alors par tous les moyens — vous devriez continuer.
Mais si vous vous précipitez dans des formations complémentaires pour compenser vos sentiments d’insécurité, ou pour affronter la critique ou la déception des autres, alors cela ne marchera probablement pas pour vous.
Vous devriez écouter vos clients avec empathie, c’est certain. Vous savez déjà que c’est une partie importante de votre palette de compétences, et que cela fait partie intégrante du processus de guérison. Mais ne vous inquiétez pas autant de ce que vos clients pensent de vos capacités. C’est votre domaine, et vous vous en sortez très bien. Rappelez-vous qu’il n’y a rien d’erroné dans la manière dont vous faites votre travail de guérison — et que vous n’avez rien à apprendre de plus, sauf si vous y trouvez vraiment de la joie.
Rappelez-vous aussi de ne pas vous laisser troubler par des signaux ou des signes d’absence d’amélioration de vos patients. La persistance des symptômes ne signifie pas nécessairement l’absence d’apport de guérison de votre part. Avant qu’elle puisse être facilité par un guérisseur, les gens doivent choisir la guérison au plus intime de leur être. Même Jésus a enseigné cela dans son ministère auprès des malades. Il n’y a pas d’autre moyen.
Rappelez-vous aussi que la guérison ne consiste pas à plaire aux autres. Il s’agit d’avoir confiance en vos capacités, puis d’avoir confiance dans le fait que votre tête et votre cœur vous révéleront le rôle le plus adapté pour vous, et la méthode la plus adaptée pour eux.
Guérir le dialogue intérieur
Mon ami, il vous est demandé d’avoir une plus grande confiance en vos capacités intuitives et de minimiser vos sentiments d’insécurité. Il vous est rappelé de rester lucide et confiant dans vos connaissances, plutôt que de sombrer dans le doute à ce sujet.
Vous ne devriez pas réduire votre efficacité en alimentant vos doutes et vos insécurités avec des critiques inutiles. Tout ce qui vous est réellement demandé est de maintenir une conscience élevée de votre intégrité en tant que guérisseur, puis de conserver votre investissement personnel dans le savoir et les compétences que votre profession exige de vous.
Plus vous affirmerez cela, plus vous découvrirez qu’il en est ainsi. Vous avez juste besoin d’encourager votre tête et votre cœur à communiquer régulièrement à ce sujet. Même si cela peut paraître idiot, vous pouvez même imaginer qu’ils le font, comme le feraient des partenaires bienveillants. Imaginez qu’ils s’envoient l’un à l’autre des messages complémentaires, quelque chose comme ceci :
Chère Tête, c’est ton Cœur. Je t’aime tendrement, et je suis ici pour te dire que je suis complètement en contact avec mon intuition. Cela signifie que je sais exactement comment diriger nos énergies de guérison pour le bénéfice de nos clients. Alors s’il te plaît aie confiance : je vais faire appel à toi à chaque occasion, et j’ai pleine confiance dans tes compétences et dans tes aptitudes. Ton ami, le Cœur.
Cher Cœur, merci pour tes encouragements. Moi aussi, je fais confiance à ta sagesse et je reconnais que nos talents combinés offrent la meilleure possibilité de succès. Sache, s’il te plaît, que je te soutiens dans notre travail commun, et que je me suis engagée dans notre passion pour la guérison. Ton amie, la Tête.
Chaque fois que vous êtes tenté par le désespoir ou le découragement, essayez cet exercice. Rappelez-vous qu’une mauvaise communication entre la tête et le cœur peut être très perturbatrice parce qu’elle détourne votre attention de ce que vous savez faire, et parce qu’elle interfère avec le flux intuitif de l’énergie que vous utilisez pour faciliter la guérison.
Le fait que vous aimez ce que vous faites, et que vous le faites bien, devrait être suffisant. Ayez foi en ceci, puis agissez avec confiance dans cette noble profession que vous avez choisie.
Vous êtes infiniment aimé, mon ami.
JE SUIS Saint-Germain.
Traduction AD